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Affichage des articles du mars, 2025
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  CHRONIQUE 45 DARWIN, TO BE OR NOT TO BE? Les GALAPAGOS surfent sur un évènement historique né du pur hasard : la visite en 1835 de Charles DARWIN , engagé à 22 ans comme naturaliste non rémunéré sur le HMS BEAGLE pour une croisière d’exploration des mers du Sud de 5 ans sous les ordres du Captain FITZROY . On trouve tous types de statues ou représentations de qualité plus que variable...  Charlie D. avait tout sauf une vision claire de son avenir ; apprenti médecin abandonnant précocement ses études pour devenir pasteur (il en gardera une profonde foi en Dieu)… Le voilà embarqué dans le carré surpeuplé du gaillard d’arrière, au milieu des caisses de minéraux (son centre d’intérêt initial), d’herbiers, de spécimens d’insectes et d’animaux empaillés ou dessinés… pour 5 ans ! Il accède à la notoriété grâce à son The Voyage of the Beagle publié à son retour en 1839… Mais il lui faut être poussé par la concurrence d’ Alfred Russel Wallace pour publier – non s...
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  CHRONIQUE 44 GALAPAGOS JE T’AIME MOI NON PLUS  (2) S’il n’y avait que la ZCIT en cause… qui n’a pas attendu l’émergence malheureuse des HOMO PRAEDATORUS PRAEDATORUS  il y a seulement 400.000 ans pour exister ! Le capitaine COOK, lorsqu’il descend à terre à Botany Bay en AUSTRALIE ou dans les multiples ailleurs qu’il a offert à l’Humanité, ne trouve face à lui nul bataillon de fonctionnaires déchaînés prêts à tout pour justifier de l’inutilité de leur poste … jusqu’à faire presque préférer d’affronter les sauvages cannibales ! Les archéo-tour-de-mondistes des âges héroïques imaginent-ils les dégâts que leurs récits sortant de l’ordinaire des jours causent jusqu’à ce jour ? Attention de ne pas marcher sur un iguane marin faisant la sieste !!! Si certains de ces récits galapagiens ont pour certains été partiellement enjolivés, pour d’autres arrachés à leur maladroite plume par les voraces éditeurs, et les pour les derniers, écrits au nom d’une foi...
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 C HRONIQUE 43 GALAPAGOS JE T’AIME MOI NON PLUS  (1) Les GALAPAGOS constituaient dans l’ancien temps LA DECOUVERTE à vivre intensément par tout tour-du-mondiste qui se respecte. Idéalement situé sur la route vers les MARQUISES, la libre exploration de ces îles des 1° Jours de la Création du Monde suscitait un émerveillement superlatif. D’autant plus que ne survivaient sur ces « Iles Enchantées » que quelques autochtones bienveillants et une poignée d’occidentaux pacifiques ayant choisi leur paradis terrestre, l’ensemble vivant de peu qui est l’essentiel… malgré des épisodes tragiques illustrant le mystère du Mal ! C’était il y a très longtemps en remontant dans les âges post-glaciaires, vers les décennies 1950 et avant . Aujourd’hui, l’évocation du nom ‘GALAPAGOS’ suscitent la terreur parmi les multiples équipages lancés dans la traversée du PACIFIQUE . Les otaries... un modèle de lâcher-prise ! « Les GALAPAGOS, surtout pas ! » …...